L’actualité positive est là : le lancement à Tours, dans une France rassemblée, du mouvement de la Nouvelle Renaissance par Gonzague Saint Bris, le samedi 24 janvier à 18h30, à travers une projection gratuite et ouverte à tous au Centre International des Congrès le Vinci, à Tours, capitale culturelle de la Renaissance française, de la collection de ses clips : « Culture Drone : les châteaux qui font la France ».
LA MOTIVATION : Pourquoi une nouvelle Renaissance dans une France rassemblée ? « Parce que c’est dans les périodes de crise que naissent les renaissances » répond Gonzague Saint Bris. « Je ne suis pas le seul à l’annoncer et à en exprimer l’ardent désir dans la situation actuelle. Beaucoup de créateurs d’emplois, d’entrepreneurs, d’artistes, d’écrivains, de journalistes, d’historiens l’appellent de leurs vœux et la voient venir. La preuve est que Jacques Attali a titré l’un de ses articles à l’orée de 2015 : « La Nouvelle Renaissance est en marche » ! »
QU’EST-CE QUE LA RENAISSANCE ? « C’est un moment de création et de communion par la culture où dans plusieurs pays en même temps naît et s’impose le seul vrai pouvoir : le partage du savoir. C’est cette communion par la culture qui traverse autant les disciplines artistiques qu’elle touche au cœur chaque pays dans son identité. François Ier a exprimé cet esprit tout autant par la définition de l’usage et de l’unité de la langue française dans son Edit de Villers-Cotterêts que par son ouverture au monde symbolisée par son alliance avec Soliman le Magnifique et l’Orient Ottoman. »
Actualité historique : Il y a cinq cents ans exactement c’est l’avènement de François 1er, roi le 1er janvier 1515 et couronné le 25 janvier dans la cathédrale de Reims, c'est-à-dire cinq cents ans jour pour jour avant le lancement à Tours au Vinci par Gonzague Saint Bris du mouvement de la Nouvelle Renaissance. Cette avant-première de culture pour tous à Tours annonce une année entièrement dédiée à l’anniversaire des cinq cents ans dont la culmination sera l’exposition universelle de Milan ouverte dès le 1er mai 2015 dans le cadre de laquelle seront présentés aussi en avant-première européenne la collection des clips Culture Drone. L’exposition universelle de Milan célébrera la relation privilégiée de la France et de l’Italie depuis cinq cents ans, eu égard aux renaissances successives italiennes et françaises. Des événements se succéderont dans toute la France autour de François Ier, le Roi-chevalier et de son règne culturel du Château de Chambord, bâti par lui sous l’influence de Léonard de Vinci, au Château du Clos Lucé d’Amboise, avec son exposition permanente « Léonard de Vinci et la France » et les 26 et 27 juillet 2015 par la reconstitution historique lors d’un spectacle nocturne : la bataille de Marignan.
MODERNITE DE L’EVENEMENT : Culture Drone : cette avant-première européenne est dédiée au génie perpétuellement renaissant de Léonard de Vinci car d’après Gonzague Saint Bris, la création du drone un demi millénaire après les inventions du maître toscan constitue une suite contemporaine et toujours avant-gardiste à ses inventions : « Pour moi le drone, c’est la cage ouverte où l’on apprend l’oiseau, confie Gonzague Saint Bris, Léonard de Vinci l’a rêvé, le XXI siècle l’a fait. La preuve est qu’il est à la fois l’inventeur de la camera obscura et celui qui a étudié le vol des oiseaux pour faire entrer dans la réalité le vol de l’humain. Le drone est l’objet technologique aujourd’hui parfaitement identifié qui fait le lien entre ces deux inventions ».
Dans ses clips Culture Drone, Gonzague Saint Bris offre un survol inédit du patrimoine français avec des images jamais vues de Versailles jusqu’aux Invalides en passant par Chambord et la citadelle de Saint-Tropez. Il expose aussi à la Galerie Vinci, à Tours, au 55 rue Bernard Palissy les quatre tableaux des inventions de Léonard qu’il a réalisés avec la palette graphique, ses œuvres numériques le « Selfie de Vinci » et la révélation de « La Joconde Bleue », ainsi que ses tableaux lettristes composés à partir des écrits de l’auteur, des citations de Léonard de Vinci, Marquis de Sade, George Sand, Honoré de Balzac et Stendhal ornés de découpages graphiques à partir des papiers peints ressuscités par l’atelier d’Offard de Tours sur un choix de François-Xavier Richard.
Le temps fort RETROUVE : LA RE-TRAVERSEE DES ALPES DE LEONARD :
En 1515, François Ier le vainqueur de Marignan rencontre à Rome, en présence du Pape Léon X, Léonard de Vinci. C’est alors qu’il invite le génie de l’Italie à venir résider en France à Amboise. C’est en 1516, au début du printemps que Léonard de Vinci fera le voyage de la traversée des Alpes à dos de mulet avec dans ses sacoches en cuir les trois chefs d’œuvres : le Saint Jean-Baptiste, la Joconde et la Sainte Anne. Gonzague Saint Bris, écrivain, historien, journaliste, Prix Interallié auteur de cinquante ouvrages, qui a été élevé dans la dernière demeure du génie, le Clos Lucé d’Amboise, lequel appartient à sa famille depuis cent-cinquante ans, a décidé de refaire dans les mêmes conditions et à dos de mulet la traversée des Alpes de Léonard de Vinci. Il en a tiré un clip Culture Drone de 2 minutes 30 en parcourant, à partir de l’itinéraire exact qui fut celui du grand artiste, les Alpes face à la majesté immaculée du Mont Blanc. Gravissant le col du Bonhomme, il est passé par la Vallée de Montjoie et, au pic de son parcours, a retrouvé sur le sommet du Semnoz le lieu où le génie de l’Italie a élaboré sa théorie du bleuissement des lointains : « Partout dans les tableaux du maître on s’aperçoit de l’importance de son périple puisque dans le fond de ses toiles on trouve bien souvent des vues de paysages montagneux » dit Gonzague Saint Bris. « C’est au relais à Saint Gervais, où il fait étape, que Léonard de Vinci considérant dans ses propres dessins, les représentations et les reflets de ce qu’il vient de voir : le ruissèlement furieux des eaux, les avalanches mortelles, les chutes d’eau et les cataractes qu’il comprend que la fin du monde viendra par la submersion des eaux. »